Assise, immobile et silencieuse. Une larme glissant sur sa joue de temps en temps, sans jamais savoir vraiment, si c'est la douleur du corps ou celle du cœur. Vidée de toute expressions, on devine comme de la souffrance qui rend l'atmosphère pesant... Plus tard,elle finira par s'endormir épuisée et anéantie.
Bon courage.